La géobiologie existe depuis très longtemps. 4 000 avant J.-C., les traités de médecine chinoise montraient déjà l’importance du lieu de vie dans les cas de thérapies non résolues.
Les romains vérifiaient la qualité du terrain avant la construction d’une maison, en laissant paître des moutons pendant un an, puis regardaient l’état de leurs viscères.
Nos proches ancêtres ont placé menhirs, dolmens et pierres levées sur des croisements de plusieurs réseaux telluriques.
On peut également constater que les lieux saints (églises, cathédrales, temples…) ont été construits par les anciens bâtisseurs avec les mêmes objectifs, contrer la nocivité des réseaux telluriques et harmoniser les lieux et leurs environnements.
Depuis le début du XXe siècle, de nombreuses études mettent en relation la nocivité du sous-sol et l’impact sur la santé. Conférences et livres ne cessent de rassembler témoignages et statistiques à ce sujet.